Jean Marie ROPARS : Différence entre versions

De Les Côtes-d'Armor dans la Grande Guerre
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Il a été incorporé le 6 octobre 1907 au [[132e régiment d'infanterie]] à Reims, matricule 32-Guingamp <br />  
 
Il a été incorporé le 6 octobre 1907 au [[132e régiment d'infanterie]] à Reims, matricule 32-Guingamp <br />  
 
Il sera mobilisé le 1er août 1914 au 248e régiment d’infanterie à Guingamp, il partira pour le front, il sera tué le 18 septembre 1915 à Perthes-lès-Hurlus (Marne).<br />
 
Il sera mobilisé le 1er août 1914 au 248e régiment d’infanterie à Guingamp, il partira pour le front, il sera tué le 18 septembre 1915 à Perthes-lès-Hurlus (Marne).<br />
Il repose désormais au cimetière de Plougonver. <br />
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Il repose désormais au cimetière de Plougonver où son corps a été transféré dans le caveau de famille le 11 novembre 1972. <br />
 
Il est inscrit sur le monument aux morts de Callac, il habitait Callac au moment de la mobilisation.<br />
 
Il est inscrit sur le monument aux morts de Callac, il habitait Callac au moment de la mobilisation.<br />
  

Version du 28 décembre 2024 à 18:26

Origine et Famille

 
Guillaume ROPARS
(1813-??)
 
Marie CARMÈS
(1819-??)
 
 
Joseph THOMAS
(1824- ??)
 
Marie Joseph LAGADEC
(1828- ?? )
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Nicolas ROPARS
(1841- ??)
 
 
 
 
 
 
Marie Françoise THOMAS
(1848- ??)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jean Marie ROPARS
(1886-1915)



Jean Marie ROPARS est né le 29 mars 1886 à Bulat-Pestivien (Côtes d'Armor), au foyer de Nicolas et de Marie Françoise THOMAS .
Il a été incorporé le 6 octobre 1907 au 132e régiment d'infanterie à Reims, matricule 32-Guingamp
Il sera mobilisé le 1er août 1914 au 248e régiment d’infanterie à Guingamp, il partira pour le front, il sera tué le 18 septembre 1915 à Perthes-lès-Hurlus (Marne).
Il repose désormais au cimetière de Plougonver où son corps a été transféré dans le caveau de famille le 11 novembre 1972.
Il est inscrit sur le monument aux morts de Callac, il habitait Callac au moment de la mobilisation.


Sources

Proposé par Maurice AUBOYER, adhérent CG22 N° 3591]

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